Omelette Pascale
12 avril 2018
Quelques photos supplémentaires de Jacky.
Clic ----> ICI
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1. gegedu28 le 22-04-2018 à 08:40:13 (site)
De belles promenades, où l'on fait de belles découvertes !
Bon week-end à tous.
Gégédu28
Dimanche 15 avril 2018 avec Christian
au départ de Taurinya, les sites miniers
et l'abbaye de Saint-Michel de Cuxa.
La vidéo de Christian ---> ICI
La trace aussi de Christian --> ICI, ainsi que les photos.
Le 29 Mars 2018 avec Gérard
LO NARET
Les photos de Jacky
GPS de Gérard --->ICI
7 + 3 = 10 Randonneurs
IBP : 28
Distance : 5.760 Km
Durée totale : 2 h 36 mm
Temps de mouvement : 2 h oo
Temps de pause : 36 mm
Moyenne de déplacement : 3 km/h
Dénivelé pur : 149 Mètres
Ascension totale : 165.9 Mètres
Température de 15° en moyenne, avec un
temps légèrement couvert sans vent.
Avec François à la Clape le 18 mars 2018.
Les photos de Monique.
LA CLAPE : UNE JOURNEE DE PLAISIR
Un petit groupe de dix, surtout des habitués qui n’ont peur ni de la météo ni de la dénivelée annoncée sont prêts à partir à l’aventure vers la Clape, ce matin du 18 mars : ils ne le regretteront pas. Deux voitures, et nous voilà en route, exceptionnellement vers l’autoroute, direction Narbonne.
Sortie à Narbonne Est, où nous devons retrouver Marie-Hélène qui, par suite d’une méprise, est déjà à Gruissan : nous nous retrouvons au parking de Notre-Dame des Auzils. Le temps de se chausser, il est presque 9 h ½, nous partons : 200 m à plat, dans les pins, puis grimpette vers le plateau des Caunes, déjà couvert d’iris et d’orchidées, où nous découvrons un surprenant gouffre : pas un gouffre rond, comme on se l’imagine, mais allongé, dont on ne voit pas le fond ( il y a des arbres ! ). Nous poursuivons, comme nous l’indique le topo, vers la falaise, dans laquelle s’amorce un chemin fort raide et caillouteux, dont on ne voit pas l’aboutissement : il faut donc y aller en éclaireur ; la descente est difficile, et au bout d’une centaine de mètres, on ne voit plus la suite du chemin au-delà du bord de falaise : demi-tour donc, remontée aussi difficile que la descente, et nous rebroussons chemin ensemble.
Nous revenons jusqu’au pied du plateau et prenons un chemin à gauche, qui nous ramène à la route vers le lieu-dit « le rec d’argent », nous prenons à droite un chemin au pied de la falaise, où nous cassons la croute près d’un joli plan d’eau. Il est dix heures et quart.
Nous repartons, traversons à gué le ruisseau ( plouf ! )et continuons en remontant le lit, où il n’y a plus d’eau. Très agréable parcours sinueux au fond du lit, avec des espaces de graviers succédant à de petites chutes rocheuses… Nous retrouvons ainsi un chemin balisé dit « sentier de la Clape » puis, toujours au fond du lit, arrivons sur le plateau de Figuières. Nous quittons le sentier balisé pour prendre à gauche un autre sentier qui nous mène vers le « plan vigne » et au bord du plateau. La vue sur la plaine, avec des carrés d’un vert vif surprenants ( des rizières, nous dit Marie-Hélène ) et l’étang de Bages, avec le village de Bages accroché au bord, est superbe. Un petit passage escarpé mais sans difficulté ( une corde fixe élimine toute appréhension ) nous permet d’atteindre le pied de la falaise où se trouve une foule de grimpeurs qui s’attaquent à l’escalade de la falaise, certains déjà à mi-parcours, c’est-à-dire à une vingtaine de mètres du pied de la falaise et autant de son sommet !
Pendant que les derniers finissent de descendre la falaise, la tête du groupe descend un peu précipitamment… Pour ne pas les obliger à remonter, nous descendons tous, et devons remonter un peu plus loin, vers un petit col qui nous transfère dans une belle forêt entre plaine et falaise. Nous y cheminons sur un bon kilomètre, admirant les formes de relief typiquement karstiques de ce côté de la Clape. Il est plus de midi et demie, nous traversons maintenant des fourrés de salsepareille et autres buissons denses avant de remonter – paisiblement cette fois – vers le haut de la falaise. Mais nous nous arrêtons un peu avant le sommet, pour rester à l’abri du vent – pas très violent, mais sensible et frais – et s’installer pour manger dans un espace assez confortable, au soleil.
Le pastis habituel est très apprécié, le repas aussi, les « gavottes » de Marie-Hélène aussi, et pour finir une sieste sur les rochers au soleil… Nous repartons un peu après 13 h 30, pour atteindre le haut de la falaise et le plateau des Figuières sur son bord ouest ; nous prenons immédiatement à gauche une petite sente difficile à suivre, qui nous amène au bord extrême du plateau, qui offre une vue sur Narbonne somptueuse… Nous longeons ainsi le bord de falaise, retrouvons le sentier balisé et un autre groupe de randonneurs, quittons de nouveau le sentier balisé pour suivre le bord de falaise jusqu’à une nouvelle trouée dans la falaise, qui donne passage à un chemin d’accès au plateau. Nous quittons de nouveau le balisage pour prendre à droite un sentier assez rectiligne, qui nous transfère en quelques mètres de la vue très étendue sur Narbonne à la vue sur la mer…
Nous suivons tranquillement ce sentier paisible qui offre pourtant une chute ( sans gravité, mais qui met en œuvre la trousse de secours ) à Charlette… Le sentier descend peu à peu vers le lit d’un ruisseau à sec, où deux sentiers se présentent : un essai par celui de gauche conduit à une très jolie grotte à l’entrée semi-circulaire en forme de tunnel, dont on ne voit pas le fond, mais pas au-delà. Nous prenons donc l’autre sentier ( à droite ) qui traverse aussi le cours d’eau et remonte sur le flan opposé, jusqu’au plateau de Notre-Dame, boisé de pins, le sentier devient sinueux et nous amène à un vaste espace dégagé où confluent trois autres chemins : la chapelle des Auzils est à droite, nous la rejoignons, le lieu est très fréquenté… Nous contemplons la vue côté mer, vue qui s’étend jusqu’au Mont Saint-Clair et Sète, et nous nous avisons enfin de faire une photo de groupe : aussitôt une jeune fille nous propose de faire elle-même la photo, nous acceptons sa proposition.
Nous commençons à descendre vers le cimetière marin, et retrouvons là la même jeune fille, qui propose de faire une nouvelle photo du groupe échelonné sur le chemin pentu. Puis nous continuons à descendre, lentement car nous lisons toutes les dédicaces, avec un certain respect pour tous ces jeunes marins disparus, en mer ou à terre, d’ici à Colombo ( au Sri-Lanka ) en passant par les Dardannelles ( en passant, c’est trop dire : on ne passe pas par les Dardanelles pour aller au Sri-Lanka ! ). Le chemin du cimetière marin nous ramène aux voitures.
Comme il n’est pas tard ( 15 h 30 ), nous nous transférons ( en voiture ) jusqu’au Rec d’argent, pour aller voir la partie que nous n’avons pas faite ce matin : un chemin nous mène au bord du ruisseau qui plonge dans une gorge profonde bordée par un sentier en corniche étroit et vertigineux : nous renonçons à l’emprunter et retournons aux voitures, pour le retour.
Splendide rando très variée, dans des paysages exceptionnels, panoramas exceptionnels, très beau temps ( frais le matin, un peu de vent qui ne nous a pas gênés ), excellente ambiance du groupe… Une journée de plaisir.
Avec Christian pour le circuit de Bailloubère.
"La Vallée des Loups" - Escaro
Données GPS de Christian ----> ICI
Vidéo encore de Christian ----ICI
et les photos toujours de Christian.
ESCARO, OU EST LA MONTEE ?
Singulière rando que ce parcours d’Escaro, promis pour une dénivelée substantielle, mais qui finit par ennuyer tant la montée se fait attendre… Mais finalement, on en a pour son argent ; et la redescente est plutôt brutale… Et si on la faisait dans l’autre sens ?
C’est Christian aujourd’hui, ce samedi 10 mars, qui a troqué son rôle de cinéaste pour celui d’animateur de la rando. Une première, me semble-t-il. Nous sommes huit, quatre filles et quatre mecs. Nous arrivons au cimetière d’Escaro ( point de départ et surtout d’arrivée de la rando, altitude 853 m ) vers 9 h ¼, tout à côté d’un champ de perce-neige…
Quelques mètres de montée, pour tromper tout le monde, puis ça descend ! Doucement d’abord, puis plutôt franchement, en sous-bois, pour parvenir au village d’Aytua, à 780 m d’altitude. Joli village un peu mort, plein de souvenirs miniers, égayé par un petit concert de coqs ( pas très matinaux )… Nous remontons un peu pour atteindre Bailloubère, grande vallée nord-sud bien boisée, parcourue par un ancien chemin très bien construit, avec des revers d’eau réguliers et des aménagements qui permettaient l’exploitation des mines de fer, jusqu’en 1962.
Le chemin continue vers le nord à flanc de coteau, en petite pente descendante, dans un paysage d’arbres tombés… jusqu’à une maison et un chemin plus large, point le plus bas du parcours, à moins de 700 m d’altitude, nous cassons la croute.
Alors on renverse la vapeur, comme disaient les cheminots d’autre fois, direction plein sud sur une piste quasiment rectiligne, qui monte de plus en plus, jusqu’au col de Fins, à presque 900 m.
Repas sur tables et bancs, anisette de Christian, vin de Pierre, chocolats, mais pas de sieste, en dépit d’un temps plutôt favorable.
Nous repartons, ça monte de nouveau, toujours dur après le repas… Juste avant d’atteindre la cote 1000 m, ouf, nous prenons un chemin qui redescend un peu, puis continue à plat pour atteindre les anciennes entrées de mines ; petite hésitation – deux chemins possibles se présentent – et nous repartons, ça monte de nouveau, et ça monte encore, jusqu’à 1030 m, il n’y a pas de neige.
Et ça redescend enfin, direction le cimetière ( nous sommes déjà morts, ce n’est pas grave ! ) : on redescend les 180 m pour une distance horizontale de moins d’un kilomètre : ça fait du 20 % : pas de quoi fouetter un chat, certes, mais les genoux se plaignent un peu ; le mieux est de descendre en courant !
Rando assez surprenante, très variée, belles forêts et beaux panoramas, somme toute très agréable malgré ses pentes tardives. Il me semble qu’en sens inverse, elle doit être bien plaisante aussi : on grimpe un bon coup au début, et le reste est peinard… A voir…
Avec Pierre le 15 février 2018.
Les photos de Claude ---> ICI
Très belle boucle au départ de Bages
en passant par le Castellas (ancien château)
et retour par les Mates.
Le 10 février 2018 au château de Réquésens avec Marcel
Les photos d'Isabelle et Christian -------> ICI
La vidéo de Christian ---------------------> ICI
REQUESENS, CA DECOIFFE !
On ne m’y reprendra pas, au coup de « vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà » : pour la tramontane, c’est blanc bonnet et bonnet blanc ! tramontane en deçà, tramontane au-delà !
C’est une surprise, en ce samedi matin, nous sommes douze, en dépit d’une forte tramontane annoncée, prêts à partir pour Cantallops, pour marcher jusqu’au château de Requesens, celui qu’on voit depuis la crête des Albères… A vrai dire, nous pensons tous que « de l’autre côté », la tramontane sera plus faible…
Nous prenons Dani au Boulou et nous continuons vers Cantallops. Le Comité d’accueil est plutôt froid : une vaste place balayée par des rafales de vent tourbillonnant ; chacun cherche un endroit abrité pour mettre ses chaussures : il n’y en a pas ; un gant traverse la place en diagonale, plus vite que nous ne pouvons courir ; les chaussettes de ( l’archiduchesse ) Monique se gonflent comme des voiles…
Nous partons donc à l’assaut du château… On ne le voit pas, au début ; nous montons, bien accompagnés par le vent… A l’approche d’un col, Marcel nous entraîne vers un dolmen, plutôt remarquable, pour casser la croûte un peu à l’abri, puis nous revenons au col, d’où l’on aperçoit enfin le château, déjà impressionnant au sommet d’une élévation, au-delà d’une vallée assez profonde ; nous ne sommes pas arrivés… D’autant que nous prenons un chemin en tournant le dos au château.
Après quelques hectomètres, nous trouvons une clôture solide pourvue de pancartes « zona militar » interdisant le franchissement ; nous la longeons donc, jusqu’à son extrémité ( elle s’arrête comme ça, au milieu du bois ) et descendons encore jusqu’au fond de la vallée, et nous remontons sur une piste de nouveau balayée par le vent, de face, qui lève des nuages de poussière : pas d’autre solution que de marcher à l’aveugle, ou à reculons ! Soudain une vache et son petit nous rejoignent, mais très peu d’entre nous ne les voient tant le vent nous oblige à regarder toujours du même côté. Nos deux bovins s’éloignent en prenant un chemin plus pentu vers le bois… Mais nous en retrouvons d’autres un peu plus loin, plus nombreux.
Nous atteignons enfin quelques constructions humaines : un grand panneau fait état d’une chapelle « à deux nefs et deux absides ( écrit en catalan ) » mais je ne vois pas trace d’église. En revanche, une de ces constructions présente une lézarde de haut en bas très impressionnante. Nous passons outre et continuons à approcher du château, en le contournant par en-dessous d’abord, puis en remontant à travers bois : nous y voilà enfin, c’est l’heure du repas ; chacun cherche un coin abrité, et finalement nous nous installons au soleil ( sauf deux plus malignes ), mais l’apéro se trouve vite empoussiéré !
On ne s’éternise pas à manger, ça ne réchauffe pas. Un petit groupe ( quatre ) vont faire le tour du château, ce qui n’est d’ailleurs pas trop facile, puis nous nous remettons en route vers la descente, d’abord vers le Four à Chaux, accolé à un refuge pour randonneurs, puis nous descendons vers un plan d’eau qui alimentait naguère une centrale électrique, puis une ancienne scierie, avant de prendre le chemin du retour, sur une (petite ) partie enfin un peu à l’abri du vent. Mais dès qu’on atteint de nouveau le col ( le même que le matin ), le vent revient, toujours aussi violent. Nous descendons par un autre chemin, en forte pente, et nous arrivons à Cantallops, accueillis de nouveau par des rafales agressives qui nous jettent de côté. Enfin nous retrouvons les voitures, toujours sous un vent violent et tourbillonnant…
Au total, une belle rando, une bonne ambiance plutôt resserrée par ce fichu vent, et la preuve que même dans de telles conditions, la rando est toujours belle et riche.
1. blogueuse42 le 09-02-2018 à 17:53:20 (site)
bonsoir
une belle balade que vous avez fait là.
Bravo à Nicole pour ces belles photos.
Bonne soirée.
Bises
Annie
1. christineb le 07-02-2018 à 08:03:29 (site)
Bravo pour la photo du jour, bonnes randos!
Le 28 janvier 2018 au départ de Saint Jean d'Albère avec Pierre.
La vidéo de Christian.
Clic sur l'image
Commentaires