Le 7 Juin 2018 les lacs de Millas avec Gérard.
9+4= 13 Randonneurs
IBP 17
Distance : 4 km pour les uns et 6 ,1 Km pour les autres
Durée totale : 2 h 12 mm
Temps de déplacement : 1 h 42 mm pour les autres
Moyenne de déplacement : 2.7Km/h pour les Uns et 4.2 km/h pour les autres
Temps de pause : 30 mm pour les autres.
Température de 24° et la pluie pour
16 h 30 au moment de pénétrer dans les voitures.
Les photos de Christian D.
1. p1a1s1c1a1l1 le 31-05-2018 à 19:33:32 (site)
bonjour c'est simpa
Sortie de 5kms sans dénivelé du 29/05 avec François
Autour du Mas Deu à Trouillas
Il s'agissait plus d'un monastère qui cultivait la terre
et élevait du bétail pour subvenir aux besoins de l'ordre du Temple
en Terre Sainte.
Cette commanderie était le centre de la vie économique rurale,
mais aussi centre de la vie religieuse pour les frères et leurs familiers,
avec son église dédiée à Sainte Marie et son cimetière.
5kms de promenade à travers les amandiers,
chèvrefeuilles, genêts, abricotiers, oliviers et vignes !
Les photos d'Isabelle.
7,5 km sous le soleil le long de la mer,
puis ombragé (très apprécié) pour la 2e partie. Pas de dénivelé.
Au départ de Ste colombe de la commanderie jusqu’à la Canterrane...
Avec François le 22 mai 2018 - 5kms de pur bonheur !!
Le 17 Mai 2018 Réserve Ornithologique
et Etang du SOLER avec Gérard.
GPS de Gérard, photos de Christian D.
IBP : 15
5 + 3 = 8 Randonneurs
Distance : 5, 8 Km
Durée totale : 2 h 34 mm
Temps de déplacement : 1 h 57 mm
Temps de Pause : 36 mm
Moyenne de déplacement : 3 Km/h
Température du 22°
Très beau temps et très peu de Vent.
3. papy_daniel le 20-05-2018 à 21:54:21 (site)
Bravo pour la photo du jour
4. christineb le 20-05-2018 à 22:26:46 (site)
Bravo pour la photo du jour, bon lundi.
MINERVE – TERRA VINEA
C’est vers Minerve que le club a choisi d’aller ce mardi 15 mai, pour une journée touristique. La météo n’est pas brillante, avec une température basse ( 12° ) et une tramontane soutenue… Mais sans pluie. 57 inscrits, c’est déjà un record pour ce genre de journée ; il est vrai qu’au moment de l’inscription, la météo n’était pas connue !
A 8 h, tout le monde est là, dans le bus, comptés et vérifiés, nous partons. Bouchons traditionnels à Pollestres, il nous faut plus d’une demie heure pour atteindre l’autoroute. Le bus tangue sous les assauts de la tramontane… Nous sortons à Narbonne, pour prendre la petite route qui va vers Saint-Pons de Thomières, et nous arrivons à Minerve vers 10 h, où notre guide nous attend, bien accompagnée par le froid et le vent…
Visite du village de Minerve, avec commentaire difficile à entendre pour tous, à cause du vent mais aussi des bavardages d’arrière-plan… Le groupe finit par s’éparpiller, certains – assez nombreux – préférant voir le site extraordinaire de Minerve plutôt que le village-même. Mais au moment de repartir, tout le monde est là, sans avoir à rechercher des retardataires.
Nous reprenons donc le bus, pour revenir vers Narbonne puis à Bages ( l’autre Bages, celui de l’étang et de l’Aude ) pour le repas, dans un petit restaurant perché : ceux qui le connaissent se précipitent pour s’installer dans la véranda, qui offre une vue sur la mer… Les autres s’accommodent de la salle, puis de l’étage… Mais le menu est le même pour tous : entrée à base de seiche, plat principal fait de joue de porc préparée comme un bourguignon.
Nous repartons un peu avant 15 h, vers Portel des Corbières et les carrières de gypse qui abritent « Terra Vinéa » : immenses galeries souterraines utilisées à la fois comme caves viticoles et comme musée de la viticulture ; nous avons cette fois-ci une guide russe à l’accent chantant, dont le propos n’est pas toujours audible. Les amateurs de géologie ( il y en a quelques uns chez nous ) se régalent à la vue d’une belle veine de gypse « fer de lance » et d’un bloc superbe de ce gypse transparent…
Après quelques achats dans la boutique, nous reprenons la route vers 18 h et arrivons à Bages vers 19 h. Bonne journée dans l’ensemble, grâce à une bonne ambiance de groupe, en dépit de la météo peu agréable et d’un certain nombre de petits points critiquables, qui n’ont fait qu’apporter un peu de saveur à cette journée plaisante.
1. blogueuse42 le 11-05-2018 à 08:36:34 (site)
BONJOUR
Bravo pour la photo du jour!
une balade très fleurie et for agréable très certainement....
Bonne journée
bises
annie
3. fafa_12 le 11-05-2018 à 14:09:31 (site)
bonjour
bravo pour la photo du jour.
passez un bon vendredi.
bises.
LES CRETES DE VINGRAU : AÏE AÏE AÏE !
Assurément, le plaisir des fleurs s’illustre dans cette rando, mais les années qui passent aussi ! A croire que le relief s’est accentué…
Nous sommes neuf ce dimanche 6 mai, dont quatre avaient pris part à la « première » de cette rando, il y a trois ans. La météo n’est pas bien bonne à Bages, mais nettement plus favorable à Vingrau : nous voilà à pied d’œuvre un peu avant neuf heures, près du cimetière où Jean-Jacques cherche une concession… Nous longeons la vieille église, et hop, ça commence à monter, dans les fleurs aussi diverses que belles. Chemin faisant, ceux qui sont déjà venus, qui connaissent donc le retour quelque peu fastidieux, envisagent d’y préférer un retour par le même chemin que l’aller, solution retenue à l’unanimité : mais nous allons déchanter !
Pas de souci dans la montée : des fleurs partout, sans arrêt, un paysage superbe, notamment sur la vallée de Tautavel, qu’on prendrait volontiers pour une vallée glaciaire typique ( mais il n’y a jamais eu de glacier ici ! ), et sur les villages de Tuchan et Paziols ( un petit coucou à Andrée… ). Pause casse-croute à la cabane habituelle, nous côtoyons deux marcheurs d’Elne que nous retrouverons plus loin. La montée continue, nous retrouvons les « fameuses » campanules, moins nombreuses mais encore plus grosses, et arrivons au point le plus haut, où nous admirons le panorama, qui s’ouvre ici sur l’autre versant, côté Opoul et la mer…
Et nous continuons vers le Pas du Cavall, but de la rando : mais là, ça se corse… Les passages difficiles se succèdent, en montée, en descente surtout, à n’en pas voir le bout, qui s’éloigne à mesure que nous avançons ! Nous nous souvenons bien, les quatre qui étaient déjà venus, des difficultés qu’avait connues Anne-Marie dans cette descente, mais aucun de nous quatre ne se souvenait d’avoir eu tant de mal !!! Dès lors, nous sommes tout aussi unanimes que précédemment pour ne pas revenir par cette voie-ci !!!
Nous finissons par arriver enfin au pas du cavall – il est midi et demie -, où nous retrouvons nos amis d’Elne, non sans avoir encore « dégusté » les magnifiques fleurs tout au long du chemin, perchées sur des rochers, essayant de nous narguer…
Quelques minutes de descente, cette fois-ci paisible, et nous arrivons au mas Llenço ( en ruine ), lieu prévu pour le repas... et le repos ! Petite sieste presque généralisée – le lieu est assez confortable – puis nous repartons, un peu avant 14 h. Là, c’est à peu près plat, nous entrons dans un espace cousu de thym et d’ail sauvage, de quoi s’alimenter une année entière ! Nous y rencontrons beaucoup de glaïeuls sauvages, si beaux dans leurs habits fuchsia. Ce chemin de retour est aussi long que prévu, peut-être un peu moins fastidieux ( tout est relatif !!! ) grâce aux fleurs toujours présentes. Nous croisons la route de Tuchan, déserte, puis continuons sur le plateau, ici de façon interminable, impatientant certains qui trouvent que nous avons dépassé Vingrau : c’est ce que nous avions nous-même ressenti lors de la reconnaissance de cette rando… Mais non, on ne dépasse pas Vingrau, on trouve enfin le sentier qui nous y ramène, tous quelque peu fourbus…
Cette rando reste très belle, avec un retour un peu longuet, mais avec une partie bien épicée de difficultés, beaucoup plus sensibles avec l’âge !...
L’ARDECHE ET SES SECRETS…
Mardi 3 avril, nous grimpons dans le Jumpy loué à l’Intermarché de Pollestres, tandis que Gérard emmène Monique et Aline… Passage chez Louisette pour compléter le groupe et retrouver Annie et sa Logan, qui emmène Rosette, Marie-Jeanne et Simone… Nous sommes treize au total au départ de Bages, nous retrouverons Marie-Hélène à Narbonne : nous avons donc le plaisir de partager ce nouveau « court séjour » avec trois nouvelles membres du club ( Suzanne, Annie et Marie-Hélène ), et Monique Combes, Rosette et Dany nouvelles participantes.
Nous partons de Bages à dix heures comme prévu, nous trouvons Marie-Hélène comme convenu à Narbonne, et nous nous retrouvons vers 12 h 45 à l’aire de Mornas où nous mangeons nos pique-niques autour de deux tables à l’extérieur. Notre parcours d’approche est presque terminé : nous quittons l’autoroute à Bollène, traversons le Rhône sur le vieux pont de Pont-Saint-Esprit et atteignons les gorges, début du séjour proprement dit…
Onze panoramas sont annoncés sur la route des gorges, mais ils sont tous – évidemment – du mauvais côté et n’offrent pas toujours des espaces de parking commodes dans notre sens : nous nous contentons donc d’en visiter quatre je crois, tous aussi splendides. Nous arrivons au fameux Pont d’Arc, impressionnante curiosité naturelle déjà bien fréquentée à cette saison et mal pourvue de parkings…
Encore quelques kilomètres et nous sommes à Vallon Pont d’Arc, où nous effectuons une petite visite de la ville, pour quelques achats et repérages, puis nous repartons, non sans mal ( la fatigue se fait sentir ), vers Saint-Remèze, où il reste encore à trouver notre lieu d’hébergement, dans la nature à quelques hectomètres du village…
Agréable découverte de ce « hameau partagé » formé de petits chalets ( un peu trop petits parfois… ) reliés par des cheminements en bois à un autre chalet commun qui sert de salle à manger et plus largement de salle conviviale, dont nous ferons bon usage.
Nous nous installons, trois groupes de trois et les cinq autres un peu serrées… Mais personne ne se plaint. Les repas du soir avaient été prévus « chacun pour soi » ou plus pratiquement par groupes, mais finalement, nous mangeons tous ensemble tout ce qu’il y a à manger : banyuls ou vin de myrte à l’apéro, pâtes carbonara de Gérard, tourte aux épinards de Louisette, quiche de Dany et autres, pour finir par la moitié d’une pile de bougnettes préparées par Gérard, qui nous dévoile ici ses talents de cuisinier.
Suit une première séance de jeux, Rummikub d’un côté de la table et aventuriers du rail de l’autre, très animée.
La météo pour demain est très défavorable, mais une bonne moitié du groupe est prête à marcher sous la pluie : on verra ça…
Mercredi matin, au lever, il ne pleut pas, et il n’a pas plu pendant la nuit… Après un nouvel examen de la météo, toujours aussi pessimiste, je me persuade qu’il ne va pas pleuvoir toute la journée, et je décide d’aller faire la rando initialement prévue sur la journée à Rochecolombe. Toutefois, il se met à tomber des gouttes pendant le petit déjeuner…
Nous partons à dix ( restent Rosette, Annie, Simone et Sylviane, qui vont aller au musée de la lavande ) vers Vallon Pont d’Arc d’abord, pour acheter une carte, le repas de ce soir ( pâtes bolognaise par Gérard ) et la pharmacopée de ces dames, puis en route vers Rochecolombe par la route d’Aubenas, fort encombrée… Nous y arrivons vers 10 heures, le chemin pour accéder au parking prévu est obstrué par un engin de travaux publics, ce qui oblige à un demi-tour peu commode et à chercher un autre lieu pour garer les voitures, nous le trouvons vers l’église.
Nous mettons les chaussures de marche et partons dans la direction du parking inaccessible ; mais là, le sentier prévu n’est pas indiqué, nous tâtonnons quelques minutes, puis prenons le chemin « de la cascade » qui nous conduit, en passant au pied du village médiéval de Rochecolombe, à un ruisseau et un ancien moulin ( une meule en grès est toujours là ), puis à un magnifique cirque naturel au milieu duquel doit jaillir, les jours de crue, une belle cascade et d’où sort un ruisseau avec une eau d’une limpidité bleutée superbe.
Comme l’itinéraire prévu impose de grimper sur le plateau ( nous sommes au fond d’une vallée ), nous attaquons un sentier fort raide et glissant, à tel point que je préfère arrêter le groupe et monter seul voir si on peut aboutir par là : je grimpe donc ce sentier abrupt sur plusieurs centaines de mètres, jusqu’au sommet du plateau, où je trouve un autre sentier de montée moins pentu, que j’emprunte pour voir si on peut monter par là, celui que j’ai emprunté ne pouvant pas convenir : malheureusement, ce deuxième sentier se perd après quelques centaines de mètres, et je dois remonter avant de redescendre par où je suis monté !... Un peu d’impatience a atteint le groupe, mais tout rentre dans l’ordre et nous rebroussons chemin jusqu’au village médiéval, où nous nous engageons : ça monte aussi, mais par des chemins praticables, et nous découvrons quelques splendeurs dans ce village quasiment totalement inhabité, donc resté dans son état d’origine, ce qui est une autre splendeur. Nous montons tout en haut, côtoyant des caves, des linteaux, des gargouilles superbes, jusqu’à la chapelle et jusqu’aux restes du château, qui offre une belle vue malgré le temps encore maussade, malgré quelques apparitions du soleil très agréables. Il y a un peu de vent frais, nous redescendons, passons devant une cavité qui paraît favorable – il n’est que midi moins le quart - pour notre pique-nique, quoiqu’un peu petite pour dix : quatre d’entre nous vont donc dans une autre cave.
Nous repartons vers midi et demie, retournons au village et décidons de partir sur un sentier allant vers Leyris, à trois kilomètres environ de Rochecolombe. Agréable sentier en pente douce, longeant en son milieu un ravin abrupt, puis retour par un autre sentier qui aboutit à une clôture, qui nous oblige à revenir au sentier de montée à travers la garrigue, heureusement peu épaisse, et traverser ce ravin…
Nous sommes donc de retour assez tôt à Rochecolombe, en ayant encaissé deux averses bien serrées mais très courtes ( 3 minutes environ ), donc finalement peu mouillés mais un peu crottés. Nous revenons à Vallon Pont d’Arc par une autre route guère moins encombrée, pour quelques achats de confort ( apéro, vin, confiture de châtaignes, biscuiterie ) avant de rentrer dans nos chalets, tous contents de cette journée.
Au repas du soir s’ajoutent des crêpes élaborées par Annie, agrémentées d’ingrédients variés : miel de lavande, confitures, crème de marrons, citron notamment : quant aux spaghettis bolognaise, il en reste autant que nous en avons mangé : nous décidons donc de venir manger le reste demain à midi, en guise de repas. Nouvelle séance de jeux après le repas, cette fois avec du scrabble…
Et nous voilà jeudi, jour de la visite de la « caverne du Pont d’Arc », nom substitué opportunément à celui de « grotte Chauvet ». Nous y sommes un peu avant dix heures, il fait très beau ; c’est un très grand site installé dans la forêt, elle-même conservée intacte, avec trois blocs construits distants l’un de l’autre, avec des cheminements parsemés de kiosques d’informations complémentaires : nous commençons la visite par la galerie de l’Aurignacien, belle et spectaculaire présentation des conditions de vie supposées il y a 40 000 ans, mais s’adressant plutôt à un public d’enfants.
Puis, après un petit tour à la boutique, nous nous dirigeons vers la « caverne » ; avant d’y entrer, nous bénéficions d’un belvédère d’où l’on peut contempler le mont Lozère enneigé et ( probablement ) le Mont Mezenc et le Gerbier de Jonc.
Immense surprise en entrant dans la caverne : une reproduction si précise et soignée qu’on se croit effectivement dans une vraie grotte, oubliant instantanément les conditions d’humidité et de température tellement l’ambiance visuelle est réellement celle d’une grotte : colossal travail de relevé et de restitution, avec par ci par là les copies des dessins de nos ancêtres préhistoriques, avec des commentaires de très bonne qualité, beaucoup plus affinés et exacts que ceux de la galerie de l’Aurignacien… Une bonne heure de plaisir qui balaye tous mes préjugés sur ce site…
Nous en repartons vers 13 h, une partie en passant par Vallon Pont d’Arc pour des achats de nourriture pour le soir, avant d’aller engloutir les spaghettis et une immense salade variée… ainsi que les bougnettes restantes, ce qui nous amène assez avant dans l’après-midi. Une petite rando vers Saint-Remèze.
Le repas du soir est un rougail de la Réunion, concocté par Suzanne, qui nous vaut d’abord une séance de larmes universelle lors de la préparation des oignons… mais qui s’avère un mets excellent et original. Dernière séance de jeux le soir.
Et nous voici, déjà, au jour du retour. Il faut donc commencer, après le petit déjeuner, à ranger tout dans les chalets : à 9 h, tout est prêt, soit une heure d’avance sur les prévisions ! Nous nous mettons donc en route - excepté Simone, Sylviane et Annie qui partent un peu plus tard - direction la maison forestière de Saint-Remèze, difficile à trouver, aucune indication ne la mentionnant… Nous y parvenons enfin, et nous attaquons la dernière rando du séjour, qui doit nous conduire dans les gorges.
Ca commence par un sentier agréable, à plat, dans le bois, au soleil ; puis la descente commence, nous atteignons la route que nous traversons pour prendre un autre sentier vers le bas, qui nous conduit jusqu’au dolmen de Chanet, très beau dolmen, proche d’un superbe panorama sur les gorges et les grottes qui nous font face. Mais nous ne trouvons pas la suite du sentier… Gérard, plus inspiré, remonte plus haut que le dolmen et trouve la suite du sentier, évidente si on n’a pas l’œil attiré par le dolmen…
La descente continue, doucement, à flanc, dans un panorama continu merveilleux, Rosette trouve une morille juste au bord du chemin ( eh oui !!! ), jusqu’à la rivière, somptueuse dans le soleil ; nous admirons des canoés qui la descendent… Nous la longeons sur quelques centaines de mètres, pour atteindre le site de Gournier, garni de tables et de bancs, et nous poursuivons par le sentier aval des gorges, jusqu’à sa première difficulté, un passage en forte pente, que tous, finalement, pourront franchir. Mais cent mètres plus loin, après un espace rocheux superbe au pied d’une falaise en surplomb, se présente un passage sur un rocher en travers très pentu qui, en dépit d’une main courante, paraît trop délicat, et nous rebroussons chemin – comme prévu – pour aller manger à Gournier.
Nous en repartons vers 13 h 30, pour remonter vers la maison forestière, par un chemin pentu très inopportun après le repas ; nous passons sous la route, montons encore quelques centaines de mètres pour finir à plat et retrouver les voitures.
C’est presque fini, nous retrouvons à Saint-Martin d’Ardèche les trois autres qui, sous un beau soleil, ont bien profité des belvédères sur les gorges et visité la maison de la Réserve Naturelle des Gorges de l’Ardèche, et nous prenons tous la route du retour, avec une pause à Nîmes-Marguerittes et un arrêt à Narbonne pour y déposer Marie-Hélène.
Séjour très agréable, convivialité exceptionnelle, temps finalement plutôt favorable, visite exceptionnellement belle, randonnées variées et plaisantes… pour un coût final de 160 € par personne : peut-on espérer mieux ?
P.S. : après notre retour, nous constatons avec surprise que le péage, dans les deux sens, coûte 1 € moins cher si on sort à Narbonne-Est !!!
Toutes les photos sont de Monique
Les données GPS de Gérard
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
1-Rochecolombe
De Port-Vendres au coll Perdiguer avec Marcel
le jeudi 26 avril 2018.
GPS et photos de Christian L. et Christian D.
oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
Au départ de Paulilles avec Pierre.
Le 26 avril 2018.
Les photos d'Isabelle et Monique.
oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
1. fafa_12 le 27-04-2018 à 10:23:27 (site)
bonjour
de très belles photos que je vois , je viens vous souhaitez, un bon vendredi.
bises.
Commentaires