Le 22 novembre 2018 avec Guy
en direction l’Ermitage de Notre-Dame de Vie---> ICI
qui a vraiment besoin de restauration.
5,7 km pour 22 marcheurs et un temps frais.
Les photos de Jacky et Christian D.
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Avec Pierre à Vivès le 15 novembre 2018.
Photos d'Isabelle et de Pierre.
Rando humide mais qui nous a permis de découvrir quelques spécimens de champignons ....
... à refaire avec le soleil pour bien profiter du panorama.
La Balma del Moro avec les photos de Monique.
Une balade au dessus de Laroque des Albères
Gérard le 10 novembre 2018.
LA CASCADE DE GERARD
Pour ceux qui ne le savent pas, la cascade de Gérard se trouve un peu au-dessus de Laroque des Albères ; elle ne se manifeste qu’occasionnellement, certains jours particuliers, et il est toujours difficile de savoir à l’avance si et comment elle va se montrer… D’habitude, cette cascade est gaie, vive, souple, mais ce samedi 10 novembre, veille du centenaire de l’armistice de la grande guerre, elle n’a plu à personne, tant elle manquait soudain de sa vivacité et de sa gaieté habituelles…
Il faisait bon cependant, en ce samedi ; nous étions onze ( sept et trois, en faisant la liaison et en inversant les rôles, autrement dit trois hommes et huit femmes ), mais les pluies récentes avaient gonflé les ruisseaux qui courent du haut en bas des Albères, et mouillé beaucoup le sol ; certes il y avait du soleil, mais rarement là où nous étions : il est vrai que ce versant nord des Albères, en hiver, voit peu le soleil.
Nous attaquons résolument cette rando inédite, quand bien même la dénivelée annoncée est sous-estimée, de l’aveu même de son animateur que je ne nommerai pas, pour ne pas lui faire davantage de tort. Le groupe est plutôt cohérent, nous atteignons assez vite la fontaine aux oiseaux ( je sais, en catalan, c’est la font dels ocells, mais la « fontaine aux oiseaux », c’est un souvenir d’adolescence qui invite Sylviane… ), puis une petite cascade ( rien à voir avec celle de Gérard ), et nous montons tranquillement jusqu’au correc de les Teixoneres, qui oppose à notre passage une résistance intempestive : un peu de persuasion, quelques ploufs maladroits, nous passons tous, moyennant quelques pieds mouillés ( vive les mouille-petons ! ) ; nous parvenons au puits à neige – assez imposant par son diamètre – qui suscite quelques commentaires tant on peine à croire aujourd’hui qu’il a pu tomber ici tant de neige qu’on ait pu la conserver… Et peu après, ça recommence avec la ribera de la roca, encore un peu plus résistante à notre passage : cette fois-ci, devant cette difficulté, nous optons pour le partage du groupe, afin que la rando ne devienne pas pour certains un pensum : il faut trouver un autre chemin pour rejoindre plus tard ceux qui traversent, en mouille-petons.
Du coup, nous voici six d’un côté, bien gardés par Simone et François, cinq de l’autre sous l’autorité de Gérard, avec rendez-vous fixé au dolmen de la Balma del Moro. Mais pendant que les six s’élèvent, par le biais d’un sentier imprévu, jusqu’à ce beau dolmen, le club des cinq atteint le Casot del Guarda, qui se montre si accueillant qu’ils décident d’y manger ( il est vrai qu’il y a là table et sièges ). Les six autres mangent donc autour et sur le dolmen, puis attendent, attendent… Le club des cinq, après la sieste ( ? ) reprennent enfin le chemin du dolmen, moyennant une nouvelle traversée mouille-petons de la ribera de la roca.
Nous finissons par nous retrouver tous, un peu après 13 h 30, au pied de la Balma del Moro, et entamons la descente, assez difficile tout le long à cause du sol mouillé sur une pente accentuée et rocheuse. Et c’est presque au bas de cette descente que nous rencontrons la fameuse cascade de Gérard… Pour être plus clair, voici notre Gérard couché sur un mauvais rocher mouillé et aigu, en grande difficulté de se remettre sur ses pieds, pâlichon et se plaignant de l’épaule… Le service de premiers secours s’entremet ( ça ne se mange pas, cet entremets-là ), c’est-à-dire ne fait rien d’autre que reconnaître ce qui fonctionne : à peu près tout, un peu laborieux parfois. Après un temps assez long ( c’est toujours long, dans ces cas-là ), Gérard, plutôt pâle, se remet debout, mais doit se rasseoir encore un peu pour finir de se ressaisir. Le diagnostic fait état d’une éventuelle luxation de l’épaule et d’une fracture possible du cubitus, sans compter une plaie non alarmante au droit du coude, mais Gérard se sent en état de redescendre ainsi, avis partagé par le chef… Toutefois son sac à dos descendra par ses propres moyens ( c’est-à-dire porté par Christian d’abord, relayé ensuite ).
La fin de la descente est un peu silencieuse mais sans réelle inquiétude ; à l’arrivée se pose la question de la conduite de la voiture de Gérard : après essai, celui-ci estime être en état de conduire et tous se passe bien jusqu’à Bages.
Le diagnostic final, après passage aux urgences, confirmera la fracture du cubitus et la luxation de l’épaule, mais y ajoutera des côtes fêlées et une autre plaie à l’épaule… Fichue cascade !!!
La Tour de Mir le 21 octobre 2018.
Avec Pierre.
12 PARTICIPANTS
11 KM / 625 m dénivelé
Photos de Christian
Rando du jeudi 08 novembre 2018
Du Pont de Reynes à la cascade avec Guy.
33 marcheurs par un temps un peu frais et humide
dans les sous-bois. Peu de châtaignes à ramasser.
Photos d'Isabelle H., Jacky et Christian D.
1. gegedu28 le 28-10-2018 à 14:46:19 (site)
Bonjour,
Etait-ce la tour d'un ancien moulin à vent ?
Au plaisir de vous relire,
Et bonnes randos !!
Gégédu28
San Marti de la Roca le 11 octobre 2018 avec Pierre.
Belle rando de 10kms au départ du beau village de Castelnou
vers La Chapelle San Marti de la Roca.
Un pur bonheur merci Pierre !
Les photos d'Isabelle H.
LE SOLEIL DE LA FRANQUI
Dimanche 23 septembre, lendemain du retour d’un voyage en Crète et à Santorin : malgré un soleil éclatant et très peu de vent, nous ne sommes que huit pour cette promenade entre La Franqui et Leucate ; sept filles ( dont trois Moniques ! ) pour un seul homme, ce n’est pas désagréable a priori ( pour lui ) et, après un trajet sans souci par la route ancienne, nous sommes à pied d’œuvre, avec un temps splendide, limpide ( on voit déjà, sur la mer d’un bleu profond, le Mont Saint-Clair… ) et nous nous attaquons à l’escalier, raide, qui nous hausse au niveau du plateau de Leucate.
Nous longeons le bord du plateau, passons la redoute de la Haute Franqui et continuons vers les falaises du cap des trois frères, superbes sur la mer bleue et calme… Quelques photos en surplomb, nous poursuivons, tentés de descendre vers la plage juste après le sémaphore ( mais la descente est scabreuse et risquée ), nous passons la tour de télécommunications, puis l’ancien phare, le magnifique restaurant ( attention au budget ! ) et empruntons le petit chemin de Jean-Jacques, qui sinue dans la garrigue, pour rejoindre le village de Leucate que nous contournons par le sud – le chemin est quelque peu bouleversé par des travaux – pour atteindre le château, toujours gardé par Françoise de Cézelly dans son habit vert.
Ascension vers le sommet, découverte du panorama superbe qui accompagne le calvaire et la chapelle ( et son gecko ), aux couleurs particulièrement accentuées sous ce ciel limpide, montrant d’un côté la Clape, Gruissan et le mont Saint-Clair, de l’autre le Canigou, mais aussi le Géant, le puig de Nou Fonts et le Cambre d’Ase, et plus à l’ouest probablement le Roc Blanc ; deux tables d’orientation expliquent le paysage proche, mais ne détaille pas les montagnes lointaines… Le Paurel – la partie de l’étang de Leucate qui rentre à l’ouest de Leucate - est d’un bleu profond offrant une superbe harmonie avec ses rives brunes et vertes, isolant les petites îles et mettant en relief le village de Fitou.
Nous quittons ces paysages sublimes pour descendre dans le village de Leucate, à la disposition si curieuse de petites rues parallèles s’appuyant au nord sur un axe longitudinal, nous en visitons le centre avant de nous installer à la terrasse du restaurant « le 35 », où nous attend un excellent repas centré sur un filet mignon fort agréable…
Mais il faut bien repartir et nous reprenons notre marche, à travers le plateau, sous un soleil de plomb, excessif à cette date d’équinoxe… Il faut une heure de cette cuisson pour arriver à la Franqui, où nous plongeons dans la mer, un peu fraîche au premier abord, mais tellement agréable après ce bien de chaleur et cette randonnée…
Superbe journée, un peu trop chaude l’après-midi, mais avec un temps exceptionnellement limpide et cette première : le repas au restaurant en cours de rando, à la satisfaction de tous.
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