18 randonneurs autour de Marcel à Fourques
le jeudi 28 avril 2016.
Les photos de Monique et Jacky.
A FOURQUES… ET AU MOULIN
Curieux, ce jeudi 28 avril… Il fait bon, peu de vent, et pourtant pas grand monde au départ. Certes, les jours précédents, la météo a annoncé de la pluie : mais elle est tombée déjà, cette pluie !
Bref, nous sommes une quinzaine, mais Marcel n’est pas encore là. En attendant, on cherche une destination, puisque rien n’est prévu : Fourques est proposé et reçoit un accueil favorable du côté des « costauds » ( du moins, prétendus tels… ). Mais c’est une bonne occasion pour ne constituer qu’un groupe… Marcel arrive, quelle destination ? Cap Béart… Après quelques échanges, tout le monde se trouve d’accord pour Fourques, sous la conduite de Marcel, et c’est parti : nous sommes dix-huit.
Parking en contrebas au bout d’une minuscule ruelle, et nous découvrons les panneaux de présentation de trois randos tout à fait attrayantes : nous suivons notre guide qui en a déjà effectué une, et nous voici en chemin, vers la cave coopérative ; mais pas d’arrêt dégustation aujourd’hui : nous dégusterons les vignes, dont les grappes apparaissent tout juste, pas encore fleuries.
Mais nous n’y sommes pas encore : au début, c’est plutôt figuiers et arbres fruitiers, sureaux qui alimentent la conversation ( c’est moins toxique, pour la conversation ), jusquà la chapelle Saint-Vincent, puis le lavoir, puis le moulin d’en Xandre, primitivement moulin à eau, converti en moulin à vent quand le Réart n’a plus eu d’eau.
Et voici les vignes : très soignées, très jeunes sauf une qui avait au moins nos âges, grenache et carignan ( commentaires éclairés de Marcel ), vers la Boussole ( petite pause ) puis le Casot ( pause goûter ), puis le Belvédère, jolie vue sur Fourques, au haut d’un ravin typique des Aspres, puis retour à Fourques par la Font de Terrer, au passage de la ribera de Llauro un superbe glaïeul sauvage, d’une couleur fuchsia éclatante.
Au parking, enfin nous apercevons le château à travers les arbres… Et nous constatons que la rando que nous avons effectuée s’appelle « les mots du vignoble »…
Très agréable après-midi ensoleillée, riche de plaisir et de convivialité entre nos deux groupes habituellement cloisonnés…
Avec Jean-Jacques le dimanche 24 avril 2016
aux gorges de la Carança.
LE TRAIN FANTOME DE LA CARANCA
Il fait frais, ce dimanche matin… La journée est annoncée belle, mais ventée. Nous sommes 22 au départ de la randonnée « train jaune » préparée par Jean-Jacques.
Jusqu’au parking de la Carança – et de la gare de Thuès – tout va bien. Nous sommes à l’heure, en dépit des craintes de certains et de quelque étourderie d’autres, nous retrouvons deux autres invités, et nous nous installons sur le quai, à l’ombre alors que le soleil brille tout autour. L’heure du train, 10 h 11, passe, puis un quart d’heure d’attente vaine, alors l’inquiétude s’installe et plusieurs d’entre nous cherchent à vérifier si le train est bien en route. Bien sûr, le numéro de téléphone indiqué sur les horaires est inopérant ( ça ne marche que quand on n’en a pas besoin ), alors on lance à la fois une recherche sur internet et une tentative par le téléphone du passage à niveau : les deux recherches concordent : le train est supprimé ! « absence inopinée d’un agent » dit internet !!!
Il n’a pas de chance, Jean-Jacques ! Quelques instants d’hésitation et nous décidons, puisque nous sommes sur place, d’aller dans les gorges de la Carança. L’accueil est très froid : tout est dans l’ombre, ça souffle… Du coup, nous ne sommes plus que 22, il est presque onze heures.
La Carança, c’est très joli, mais ça a un inconvénient majeur : c’est vertigineux ! Alors le groupe se coupe en deux parts équitables : 20 d’un côté, deux de l’autre… Comme votre serviteur se trouve justement parmi ces deux-ci, il ne vous racontera le parcours des 20 autres que par ouï-dire : principalement, les vingt autres se sont trouvés réduits à 18, l’une d’entre eux ayant accompagné dans sa retraite une autre dont l’état physique était défaillant.
Toutefois, les deux groupes se retrouvent sans autre difficulté au pied de la première passerelle, et nous attaquons la partie métallique de la rando…
Un coin agréable nous accueille pour le repas, très calme, avec comme d’habitude des surplus partagés : pain d’épices, chocolats, meringues, café… Et nous repartons sans sieste.
Re-passerelles et ponts de singe, puis une petite pause en carré très sympathique, et de nouveau le groupe se partage : cette fois, c’est plus équilibré, le soleil l’emportant sur la forte montée nécessaire, montée qui vaut à Isabelle un petit accident musculaire ( je dis « petit » parce qu’elle a fait comme si c’était le cas, gardant son gai sourire tout au long malgré la douleur… ). Retour bien ensoleillé, chaud, bien ponctué de pauses pour profiter de ces superbes panoramas…
Tout le monde se retrouve au parking, et retour au bercail.
Photos de Monique, Isabelle et Jean Jacques.
Jeudi 14 Avril 2016, l'après-midi avec Pierre
de Collioure à Port-Vendres.
Les photos de Christian et Claude,
la vidéo de Christian ---------> ICI
Très belle balade aux alentours du château d'Opoul
Jeudi 14 Avril 2016, l'après-midi avec Marcel.
Les photos de Jacky, les données GPS de Guy ---> ICI
Opoul ----> ICI
Périllos ---> ICI
En suivant Marcel jusqu'aux Coulomates
le dimanche 10 avril 2016, la vidéo de Christian --> ICI
nombreuses photos de Monique, Isabelle et Christian
Avec Pierre le 7 Avril 2016 du barrage de Vinça
au Prieuré de Marcevol ----------> ICI
Photos et vidéo de Christian --------> ICI
Rando de 6,2 Km. pour un dénivelé pur de 303 Mètres
et une ascension totale de 580 Mètres.
La Serra de Maureillas avec Marcel, le 7 Avril 2016
Les photos de Jacky et les données GPS de Guy --> ICI
19 participants et 2 chats
Samedi 2 Avril 2016
Beaucoup ont répondu à l'appel pour ce moment d'Amitié à "La Taverne" à Argelès.
L'apéritif d'accueil à réchauffé l'ambiance.
La bonne humeur a accompagné ce repas apprécié par tous.
Un grand merci à Bernadette et à son équipe.
Avec François à Fitou ce dimanche 20 Mars 2016.
Les photos sont de Monique.
SIX FILLES DANS UN JARDIN D’IRIS
Dimanche matin 8 h : où sont les mecs ? Il ne pleut pas pourtant… Bien sûr, la météo annonce de la pluie depuis une semaine : c’est sans doute un bon motif, mais une mauvaise raison.
Et puisqu’elles sont là, les six filles, on y va. Le ciel est peu engageant, les prévisions mauvaises ; à Fitou, le ciel est lourd… de menaces. Du reste, les gouttes arrivent, tranquillement, juste en même temps que les premiers narcisses nains jaunes, présents au rendez-vous au même endroit que l’an dernier, où il tombait des gouttes aussi.
Nous retrouvons aussi les narcisses nains blancs, présents aussi au rendez-vous ; les gouttes se resserrent, les capes et les capuches aussi… Puis apparaît le premier iris nain violet, lui aussi au rendez-vous, puis le premier iris blanc… et les chenilles processionnaires.
La pluie est irrégulière, mais présente aussi ; et en dépit d’elle, voici soudain le premier jardin : des iris nains des toutes les couleurs, du jaune au violet en passant par le blanc et le bleu tendre, peut-être le plus beau, et tout ça perlé de gouttelettes d’eau ! Certes, on s’en passerait bien, mais elle ajoute à la beauté. Heureusement que Monique est là, elle est la seule à avoir pris un appareil photo ! Et des iris à perte de vue ( c’est le terme qui convient, mais la perte de vue, dans la garrigue et sous la pluie, ce n’est qu’une centaine de mètres… ).
Arrêt casse-croute à l’abri, au même endroit, mais quarante minutes plus tard que l’an dernier, tant nous avons admiré toutes ces fleurs.
Il pleut toujours quand nous repartons, mais moins que l’année dernière… Et soudain, à la croisée des chemins, nouveau jardin immense, des milliers ( oui, des milliers ) d’iris, un vrai parterre. Du coup, la pluie s’arrête et ne reviendra plus que lorsque nous serons arrivés.
Sur la nappe calcaire, plus d’iris ( juste encore une petite place ), le chemin nous mène à la ligne électrique, puis aux éoliennes qui tournent consciencieusement alors qu’il n’y a pas de vent, entraînées par leur couplage sur le réseau…
Le repas se fait à l’extérieur : il ne pleut plus, le sol est sec, il fait assez frais, mais un rayon de soleil vient nous confirmer que nous avons eu raison de braver les prévisions météo ; du reste, nous sommes tous d’accord que ce que nous avons vu valait la peine de se mouiller un peu.
La suite est une petite promenade digestive, jusqu’au dessus de Fitou, nous prenons un petit sentier invisible, tellement invisible d’ailleurs qu’au lieu d’arriver au château comme prévu, nous arrivons à l’église ! Curieuse église d’ailleurs, bien restaurée mais fermée, qui paraît être ( vue de l’extérieur ) une église romane à deux nefs, avec un clocher massif… Nous remontons tout de même au château avant de traverser le village pour retrouver nos voitures, et aller – juste en face – déguster quelques gorgées de Fitou à la cave de la Rochelierre, cependant que la pluie revient… sans nous gêner cette fois.
Avec Pierre le 10 Mars 2016 autour de Corbère
Les photos et la vidéo sont de Christian
La vidéo ---------> ICI
Dimanche 6 Mars 2016 avec François
au départ d'Arles sur Tech à la cascade Maria Valenta
les photos d'Isabelle, Marie-France et Christian.
La vidéo de Christian, cliquez ------> ICI
A LA CONQUETE DE MARIA VALENTA
Dimanche matin, 7 h 50 : Charlette est là pour annoncer à un groupe déjà bien étoffé que Marcel a un gros rhume et ne peut pas effectuer la rando prévue ( plusieurs d’entre nous ont été prévenus pat téléphone )… La météo est incertaine, du vent est promis depuis plusieurs jours. Il faut une rando de secours, si possible peu ventée : celle qui paraît la plus opportune malgré ses pentes est celle qui a fait déjà couler un peu d’encre, et qui a vu déjà plusieurs tentatives avortées : Maria Valenta.
Un coup de fil aux Moratona qui attendent les nouvelles, et nous voici en route pour Arles-sur-Tech, seize au départ de Bages, dix-huit à l’arrivée. Quelques gouttes déjà en route, avec un petit arc-en-ciel encourageant, une température assez fraîche n’entravent pas notre résolution.
Ca monte… d’abord sur la route un peu sinueuse, puis nous plongeons dans un sentier improbable à flanc de coteau en sous-bois, qui rapidement se remet en position montante… pas comme sur la carte ! Sur la carte, c’est plat, comme chacun sait, mais ici, ça monte !!! Et soudain, un beau carrefour de sentiers avec plein d’indications : Arles, Arles ( dans les deux sens ), grotte, « orat à 50 m », juste ce qu’on cherche. Et nous trouvons l’oratoire, perché au bord d’une falaise ; nous en profitons pour nous restaurer. Nous continuons vers la grotte, dont l’accès, quoique aménagé avec une superbe corde à nœuds, est assez difficile et glissant ; quelques intrépides ( des deux sexes ) bravent la difficulté. Nous repartons, d’abord dans le mauvais sens, vite corrigé, vers la cascade de Maria Valenta : ça descend ! et assez vivement. Nous arrivons au ruisseau – comment s’appelle-t-il ? – « correc de Malpas », et nous le franchissons. La cascade est en aval, on ne la voit pas ; nous essayons de trouver un point de vue, mais les accès, très humides, sont dissuasifs.
Nous remontons ensuite le correc, en pente modérée, jolis paysages de sous-bois et de cours d’eau, le long d’un faisceau de câbles conséquents, probablement un ancien téléphérique dont nous n’avons pas identifié l’usage. « ça monte sur deux bons kilomètres » a dit le guide, celui-qui-ne-se-trompe-jamais ( jamais ? on verra ça… ). Le correc, quasiment rectiligne sur près d’un kilomètre, oblique soudain vers la droite ( la nôtre ), et la pente se renforce ; « on continue »… et on traverse le correc, le chemin repartant franchement vers la gauche, toujours montant. Dans le groupe, on commence à avoir faim ; il est près de midi. Mais l’idée, approuvée par tous, est de finir la montée avant de manger ; la montée, c’est jusqu’à Can Rigall, où on sort du bois ; et allez, on continue… à monter. Mais toujours à pente modérée, cette fois-ci un peu en corniche, avec jolie vue sur la vallée et quelques traversées de ruisseaux cascadeurs.
Un peu avant Can Rigall, le chemin ne monte plus, l’impatience gagne, l’heure avance. A la traversée – délicate, assurée solidement par Christian - du dernier ruisseau, le groupe décide de manger là ; mais certain(e)s sont reparties, et il faut aller les rechercher. Elles sont arrivées, non pas à Can Rigall, mais à Fontanills, où une vaste clairière paraît aussi favorable. Le guide les convainc cependant de rebrousser chemin, mais ce rebroussement tourne court, le reste du groupe s’étant lui aussi décidé à rejoindre les autres ; au résultat, tout le monde est là, et nous allons manger dans un coin plutôt agréable et très propice à la sieste.
Apéritif ( anisette et ricard ), silence pendant que chacun mange sa salade, distribution de gateaux et chocolats divers, le régime en prend un coup ! Sieste pour quelques uns, les autres jacassent pendant ce temps, quelques flocons de neige ( eh oui, ce sont les seuls rencontrés cet hiver ) mais néanmoins soleil presque constant.
Et nous repartons vers Can Rigall ( c’est tout près ) et nous nous trouvons devant un portail, certes grand ouvert, mais accompagné d’un panneau « propriété privée – accès interdit »… Hésitation, questionnements, explication du guide sur les possibilités qui s’offrent : soit passer outre et entrer, puisqu’il semble fort que ce chemin soit public, soit contourner par le haut ( c’est l’itinéraire balisé normal ), soit redescendre par l’autre côté, avec de la route et un chemin a priori moins intéressant. Certains ne souhaitent pas entrer dans une propriété dite privée, ça élimine la première option ; nous avons arrangé la rando pour ne pas remonter après le repas, ça élimine la seconde…
Donc nous descendons… route, raccourci à forte pente, route, raccourci, puis longuement route, et soudain, sentier à droite surprise, qui malheureusement remonte… et remonte dur… combien de temps ? difficile à dire, la lecture de la carte à cet endroit est peu commode. Certes, c’est bien le chemin balisé, mais l’indication est Can Rigall, ce qui est dissuasif. Certains sont fatigués, et six choisissent de redescendre par la route, avec l’assentiment des autres qui continuent à suivre aveuglément celui-qui-ne-se-trompe-jamais…
Mais après quelques centaines de mètres, plus de marquage ; comme le chemin devrait revenir sur l’autre rive, nous poursuivons dans cette direction, mais le sentier se perd ; tentative au-dessus, tentative au-dessous… Non, on fait demi-tour ; et en retrouvant le correc, nous retrouvons aussi le marquage, mais des arbres sont tombés et cachent le chemin ; il faut monter encore… cette fois-ci, nous trouvons le chemin qui revient sur l’autre rive ( une centaine de mètres plus haut ), mais ça monte toujours… et encore… et enfin, sur une crête, le carrefour de sentiers attendu, et la descente, sans interruption. Forte descente, du reste, au point que certaines préfèreraient la monter !!! La descente s’arrête au Tech, il ne reste qu’à remonter ( c’est plat ! ) quelques centaines de mètres le long du Tech… où nous retrouvons bien sûr les six dissidents.
1. gegedu28 le 11-03-2016 à 10:21:22 (site)
Bonjour,
Très bel article !
... il méritait bien la Photo du Jour !
Bonne continuation.
Gégédu28
2. anaflore le 11-03-2016 à 12:25:51 (site)
courageux parcours du combattant !!bravo pour la photo du jour bonne continuation bon wk
Avec Pierre
Jeudi 3 Mars 2016, l'après-midi vers Arles sur Tech
Dénivelé d'environ 300m. Boucle de 9 km.
Vitesse de marche de 3.4 km.
Les photos de Danielle et les commentaires de François.
UNE BONNE NOUVELLE
Certains d’entre nous pensent que toutes les nouvelles ( randos ) sont bonnes : cette manière de voir s’est réalisée jeudi avec Pierre qui nous a emmenés sur des sentiers inconnus parsemés de violettes ( certaines même odorantes, mais personne ne se baisse pour les sentir ).
Pas dénuée de surprises, cette rando : d’abord, le parking prévu n’est pas accessible ; un petit tour de rond-point et l’affaire est réglée, un autre parking se présentant spontanément.
Début dans un joli sentier parfumé ( à la violette pour les initiés ), d’abord quasiment plat, puis se redressant progressivement, avec passages à gué ( cette fois-ci, sans se mouiller les pieds, même pour les maladroits ) et nous arrivons au coll d’en gros. Là, ça se corse : le chemin devient plus effacé, puis disparaît complètement, et nous voilà dispersés sur le versant d’une forte pente, cherchant chacun son chemin parmi les branches épineuses… Mais la direction est bonne, et nous arrivons sur un large chemin, et il est temps de se restaurer.
Puis nous repartons par un chemin confortable, descente douce vers le Bonabosc, puis remontée paisible pour arriver sur la crête de Jacouty et retrouver un air connu.
Quelques rousquilles en passant dans Arles et fin vers 17 h 30…
Jeudi 03 février 2016 au Mas Passalaigua
et la fontaine de la Tortue avec Marcel
les photos sont de Jacky
Les photos et la vidéo de Christian sur la sortie à Banyuls
du 25 février 2016 ont été rajoutées à la suite de l'article.
Banyuls- Notre Dame de la Salette- col des Gascons
avec Pierre ce jeudi 25 février 2016
GPS et renseignements de Gérard et Claude ---> ICI
La vidéo de Christian -----------> ICI
Les photos de Christian aussi...
Dimanche 21 février 2016 avec Pierre.
21 randonneurs pour une balade au départ de
Villefranche de Conflent
en direction de la citerne Vauban -----> ICI
du dolmen de Corbatorat------> ICI
Corneilla de Conflent et sa belle église Ste.Marie-----> ICI le roc Ample,
le Serrat d'En Parot, les anciennes carrières de talc, une bergerie romane
puis deux impressionnants points de vue sur Villefranche et ses remparts.
Avec Marcel le jeudi 18 février 2016
vers la chapelle Sant Julia de Vallventosa ---> ICI
en passant par le four à chaux -----------> ICI
et le puits à glace --------------------> ICI
les données GPS de Guy --------> ICI
les photos de Jacky
Avec François, Isabelle, Monique et Nicole.
Commentaires et carte de François, photos de Monique et Isabelle
UNE PETITE RANDO DISCRETE…
Dimanche 7 février, matin pluvieux et fortement venté : ô surprise, l’esplanade n’est pas déserte, on distingue des occupants dans deux voitures… Nous sommes sept, pas moins, à avoir mis le nez dehors par ce temps désobligeant.
Toutefois, deux d’entre nous sont décidés à ne pas y aller ; mais les filles, elles, sont partantes… pour n’importe où : si on a préparé le sac, mis le réveil et mis le nez dehors par ce jour peu propice, ce n’est pas pour rentrer à la maison !
Et nous voilà partis, à quatre, vers La Tour de France. Rando découverte pour ces quatre mousquetaires, mais déjà effectuée en janvier 2014 par un groupe plus étoffé mais par beau temps.
La pluie cesse dès que nous sortons de Bages, mais nous la retrouverons sur place… A 9 h nous sommes en marche, petite montée tranquille face à une tramontane soutenue et des gouttes éparses ( pas de quoi se mouiller, même pas de quoi sortir les capes, mais gouttes quand même… ) ; tramontane forte sous la ligne à haute tension, et des chasseurs encore plus téméraires que nous, qui se gèlent à leurs postes !
Mais aussi, des narcisses nains, des orchidées presque ouvertes, et même un iris heureusement placé juste au bord du chemin.
Descente plus paisible dans un très agréable sentier, sur une terre rouge, puis une terre noire, puis une terre grise, puis de nouveau rouge…
Nous arrivons à La Tour de France juste à midi, repas à l’abri, couvert, avec nappe ( eh oui ! ) et couvertures sur les bancs ( que ces dames sont prévoyantes ! ), et un super gateau au citron !
Puis visite du village, toujours très aérée… et retour à la voiture vers 14 h. Merci à mes compagnes de ce jour finalement bien agréable.
Le Jeudi 4 Février 2016
La Chapelle Santa Engracia ----> ICI
22 Randonneurs avec Pierre
Index IBP : 42
Distance : 5.850 Km
Durée totale : 2 h 56 mm
Temps de déplacement : 2 h 07 mm
Temps de repos : 49 mm
Moyenne de déplacement : 2.8 km/h
Beau temps à l’abri du vent et une
température de 14° et un peu plus…
Les photos de Monique et Dany
Les données GPS de Gérard -----> ICI
Avec Marcel ce jeudi 4 février 2016, l'après-midi
au sud de Corbère vers la chapelle San Père del Bosc
les photos et données GPS de Guy
GPS--------> ICI
Commentaires
1. anaflore le 04-05-2016 à 22:09:44 (site)
les kilométres à pieds ça usent les souliers ...bonne balade